Schott au delà du perfecto

Marque associé au produit révolutionnaire qu’elle a inventé, Schott, reste le roi du perfecto. C’est ce qui a fait son succès et sa gloire. Aujourd’hui Schott s’est diversifié et propose une collection variée mais toujours dans l’esprit communautaire et l’esprit d’équipe.

Schott : Toujours « perfecto »

Il suffit parfois d’un coup de maître pour lancer une marque quelle qu’elle soit. C’est le cas pour l’enseigne Schott surtout connue pour avoir crée le perfecto. Fondée en 1913 par les frères Schott (Andy et Franck), rien à voir avec la série TV, cette griffe est toujours populaire de nos jours. Dés 1928, le lancement du cultissime perfecto impose Schott comme une marque novatrice.

Le perfecto est un blouson en cuir raide et épais réputé comme très solide qui fait le bonheur des motards. Sa coupe spécifique avec une fermeture croisée et une à
glissière sur le devant protégeant le torse fait de ce vêtement le partenaire idéal en cas de chute. Mieux encore le perfecto devient par la suite l’uniforme du rocker dans les années 80. Il est synonyme de côté rebelle, de liberté voire d’opposition au système. Ainsi sa publicité s’effectue toute seule.

C’était déjà le cas dans les années 60 avec une série mythique comme « Happy Days » où Fonzie le personnage culte arborait un perfecto lors de chaque épisode. La
marque distinctive du héros qui revendiquait la « cool attitude ».

Le style américain revendiqué

Dans le même registre, Marlon Brando ou James Dean ont aussi popularisé le perfecto et donc la griffe Schott. Aujourd’hui la gamme de cette enseigne s’articule toujours autour des « cuirs » ou des « blousons ». Différents styles sont proposés mais la qualité demeure intacte. La dernière collection automne-hiver met en exergue les pulls qui devraient rencontrer un vif succès.

Les sweatshirts revendiquent une forte inspiration américaine ce qui explique le fait que Schott reste populaire auprès des jeunes. Même chose pour les tee shirts
avec une diversité maximale du plus sobre au plus excentrique. On retrouve le style « université américaine » avec la notion d’appartenance comme fil conducteur. Si les chemises ou pantalons sont plus classiques avec un choix moindre, il existe aussi des gammes pour femmes et pour enfants.

Preuve supplémentaire que Schott a su résister à l’usure du temps. À l’image du perfecto dont le nom a été trouvé car c’était celui des cigares cubains que fumait Irving Schott… C’était écrit

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