Benetton la référence suprême

Les griffes italiennes de Prada en passant par Moschino sans oublier Nina Ricci entre autres sont incontournables dans le domaine de la mode. La marque Benetton s’inscrit dans cette même optique et fait toujours office de référence suprême. Il faut dire que cette enseigne a tout compris.

Benetton donne le ton

L’histoire commence en 1965 lorsque Benetton voit le jour dans la banlieue de Trévise. On retrouve le raffinement transalpin associé une grande qualité dans les matières utilisées. Les vêtements sont simples mais « classes » à l’image d’un logo tout en sobriété mais révélateur d’un certain état d’esprit avec le vert, la couleur de l’espoir, comme fil conducteur.

La progression est fulgurante car 4 ans plus tard le premier magasin est ouvert hors des frontières transalpines à Paris. Puis c’est New York au début des années 80 qui accueille Benetton, signe d’un succès qui ne se dément pas.

Si les « produits » Benetton inspirent le respect, il faut bien reconnaître que c’est dans le domaine de la communication que la griffe excelle. Le sport et son côté universel représente un vecteur parfait et la marque le comprend très vite. Dès lors Benetton entre en Formule 1 puis connaît la gloire avec l’équipe de basket du Benetton Trévise avec des légendes de ce sport comme emblèmes tel le Croate Toni Kukoc qui partira ensuite au Chicago Bulls jouer avec Michael Jordan.

La preuve par l’image

Par ailleurs les campagnes publicitaires de la marque se veulent « provocantes » à l’image de la série des « United color of Benetton » qui feront beaucoup parler dans les années 90. C’est le côté avant-gardiste de cette griffe qui ne surfe pas une vague mais crée au contraire « le mouvement ».

Les affiches font le tour du globe et installent définitivement Benetton sur le toit du monde de la mode. C’est toujours le cas aujourd’hui et sans dévier d’une ligne directrice qui a fait ses preuves. Si la gamme « United Color of Benetton » reste la vitrine de la griffe italienne, « Sisley » apporte une touche plus glamour. « Playlife » se concentre sur les vêtements de loisirs alors que « Undercolors of Benetton » s’articule autour de la lingerie, articles de plage, pyjamas et accessoires.

Malgré une concurrence accrue, Benetton occupe toujours le devant de la scène. Avec 6000 points de vente dans 120 pays, on peut parler d’un rayonnement international.

Crédit photo: http://www.blogenbois.fr

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